J’ai été émue en le lisant, bien sûr. Et contente pour Léon qui a retrouvé un grand-papa. Son fils Manuel, m’avait confié il y a deux ans combien il avait rencontré l’amour inconditionnel en devenant papa. Il n’y croyait pas avant cela.
Et en lisant la seconde partie de la chronique de Foglia, on sent bien que l’amour inconditionnel est là, entre ces deux générations qu’un autre Foglia sépare. Et les liens du sang, même si on fait du boudin avec, ça reste du sang. Du sang un peu plus solide.
Blood is thicker than water, une fois de plus.