Générale

Mad mad girl

Ils ont gagné aux Emmy Awards cette semaine pour la troisième année consécutive à titre de meilleure série dramatique. Pas étonnant, Mad Men continue de nous ébahir semaine après semaine (en français à Télé-Québec ce soir). Une symbiose entre décors, costumes, casting, reconstitution « historique », dialogues croustillants et sensualité assumée.

Grâce à Mad Men, j’ai redécoré ma salle à manger en teck, style sixties. Faut dire que j’étais déjà très contaminée par le genre dans mon ancien chalet avec « Chesterfield » fleuris oranges et tapis caca d’oie shaggy, menu à l’avenant.

Nostalgie d’une époque où chacun tenait son rôle et où l’on sentait les codes sur le point d’éclater? Orgie esthétique? Je ne me lasse pas de voir le nouveau bureau de Roger Sterling tout en blanc et noir dans cette quatrième saison lancée cet été. Non plus que les toilettes de Joan, la super secrétaire en chef, plus voluptueuse qu’un sundea aux fraises (en bas à droite sur la photo). Elle donne envie de virer sa cuti…

Le magazine Rolling Stone nous offre quelques photos de tournage qui ravissent le fan et sa femme. Voir un des créatifs de l’agence de pub avec des instruments du XXIème siècle à la main, c’est tout à fait jouissif et très contraste. Mais j’aurais aimé des photos de cette scène truculente entre Peggy et son directeur artistique, à poils, pour une séance de « brain storming » dans une chambre d’hôtel.  Un morceau d’anthologie qui m’a rappelé les pubs de Wonderbra de mon enfance.

À lire dans le magazine qui sort en kiosque aujourd’hui!

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