Une TDLG, ce sont surtout des gens qu’on retrouve, pour une seconde ou une cinquième fois (dans mon cas). Pour la neige, on repassera. L’année dernière, le fleuve nous avait emprisonné dans ses glaces; cette fois la Baie des Chaleurs n’avait pas vu un flocon tomber depuis le 24 novembre. Changements climatiques? Nah….
Les retrouvailles de la gang de filles, Lou Babin, Joblo, Cloclo, Loulou et la belle Isa…
On retrouve aussi les bénévoles et leurs sourires contagieux…
On retrouve des conteurs déguisés en motoneigistes ou en photographes, ici Sylvain Rivière et son pote Toumani Kouyaté, auteurs d’un livre sur la TDLG.
On retrouve nos accordéonistes, notamment Pierre-Olivier et Sylvie, toujours de la partie pour vous faire taper du pied.
Les médias sont à pied d’oeuvre; même en ski, on ne néglige pas ses lecteurs (ce que la photo ne dit pas, c’est que j’enlevais mes skis un kilomètre plus loin parce qu’il manquait de neige et que la Traversée de la Glacepésie me faisait ch….)
Il y a aussi des rencontres, comme celle-ci, deux randonneuses qui grimpent le mont Olivine en raquettes et redescendent en Crazy Carpet. Une glisse d’un nouveau genre.
Il y a aussi la rencontre de l’espace, toujours surprenante pour une urbaine.
On peut même s’attendre à rencontrer des nudistes sur la plage… mais ça, c’est une autre histoire.