Générale

Tout a commencé par le 8 mars


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Photo: Kiran Ambwani

Je n’ai pas coutume de montrer mes photos de voyage parce que je n’ai pas coutume d’en prendre. Mais dans ce pays de chaos et de folklore, de misère et de grandiosité, tout appelle le regard. N’importe quel photographe du dimanche peut espérer voir ses clichés imprimés dans la prochaine édition du National Geographic en rentrant du Népal. Soyez indulgents, tout de même, je suis myope depuis toujours et presbyte depuis peu. En résumé, je cadre au pif et j’appuie sur le bouton. J’ai même découvert l’existence du zoom sur ma caméra (achetée l’été dernier) durant mon séjour…


Bienvenue à Katmandou. 822,000 habitants et pas d’électricité de huit à douze heures par jour. Ils la vendent aux voisins, les Indiens. Et quand il fait clair, ils démêlent les fils.


La route des épices. Ce sont elles qui ont fait de l’Amérique ce qu’elle est. Et ont valu à nos autochtones le nom d’Indiens.


Fête de Shiva, les enfants récoltent des sous en arrêtant les autos dans les rues avec des cordes. De la graine de mafieux.


Une rue typique de Thamel, le coeur de Katmandou, célèbre pour ses boutiques, massages, vendeurs de hashish, centres de méditations, repères de trekeurs, travestis en tous genres, enfants de la rue. Le bordel comme on aime.


On se sent toujours comme un sale Blanc lorsqu’on les prend. Mais les conducteurs nous interpellent et nous supplient quasiment. Moins dangereux que les taxis, du reste. Et à pied, c’est du suicide.

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