Ma rencontre avec VLB était écrite dans le ciel. Contrairement à Michel Chartrand, qui m’a affreusement déçue de son vivant, Victor-Lévy s’est montré tel qu’il est, généreux et malin, aimant et câlin, intarrissable sur tous les sujets. Je me suis toujours méfiée des icônes, des légendes vivantes et des statues. Mais je n’ai pu résister au bonhomme et à ses chats, sa pipe et ses histoires…
En compagnie de Louis Cyr dans sa cuisine. Une statue serviable; on y glisse les enveloppes entre ses jambes.
Dans le décor de son téléroman Montréal, PQ, tapant sur sa première Remington. VLB consacrait une semaine d’écriture par tranche d’une heure. Une prouesse quand on sait que les scénaristes mettent 30 jours/heure de télésérie. Mais il arrivait aussi que VLB écrive 30 heures d’affilées.
En compagnie de ses petits chevaux, lui qui a l’habitude de monter sur ses grands.
Devant la maison de Bouscotte qu’il a conservée sur son terrain.
Un hôte généreux: je repars avec deux pots de confitures et une chatounette… que j’ai baptisée Victoire.
Viande à chien… rue Beaver Hall hier.