S’il fallait résumer ce courant en trois points ?
Des préceptes du slow food revus et adaptés à la nordicité, où la liste des aliments frais se réduit à peau de chagrin la moitié de l’année.
Une philosophie mise de l’avant par de jeunes chefs danois, finlandais, norvégiens et suédois qui, dans un manifeste, en 2005, lançaient une sorte de charte en faveur d’une cuisine novatrice proche de la nature, privilégiant pureté, fraîcheur, simplicité, éthique. Un flambeau porté haut la main par le top chef (seulement trentenaire) René Redzepi du Noma, à Copenhague, proclamé meilleur restaurant du monde à trois reprises (2010, 2011, 2012) par le prestigieux magazine anglais Restaurant.
Inscrivez-vous aux infolettres de Châtelaine