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Santé

7 mythes et réalités entourant l’AVC

Vous ne sauriez reconnaître les signes d’un accident vasculaire cérébral (AVC). Et vous vous croyez protégée parce que vous êtes une femme. Faux! Voici pourquoi.
Par la Fondation des maladies du coeur et de l'AVC
7 mythes et réalités entourant l’AVC

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7 mythes et réalités entourant l’AVC

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Vous croyez qu’il n’existe qu’un type d’AVC ? C’est faux. Il y a l’AVC ischémique, le plus fréquent, qui survient lorsqu’un caillot bouche un vaisseau sanguin du cerveau, privant d’oxygène et de glucose la zone irriguée par celui-ci. Et l’AVC hémorragique : un vaisseau sanguin qui se rompt à l’intérieur du cerveau. Dans les deux cas, on peut y laisser sa peau.

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« Grâce aux progrès de la médecine, de plus en plus de patients récupèrent presque complètement, indique Richard Gallo, cardiologue à l’Institut de cardiologie de Montréal. Mais il arrive que les dommages soient irréversibles. Certains perdent l’usage de la parole pour le reste de leurs jours, ou demeurent paralysés. »

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On pense souvent que l’AVC, comme les autres maladies du cœur, est surtout un problème de gars sédentaire qui mange mal. Erreur : nous en sommes davantage atteintes. « Cet écart s’explique en bonne partie parce que les femmes vivent plus longtemps et que le risque augmente justement en vieillissant », dit Sylvain Lanthier, neurologue au CHUM et professeur à l’Université de Montréal.

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L’AVC est aussi la troisième cause de mortalité chez les femmes.

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« Les femmes minimisent ces signes. Bon nombre pensent que le stress est en cause et ne se rendent pas à l’hôpital, alors qu’elles n’hésiteraient pas une seconde si elles se découvraient une bosse dans un sein », se désole la Dre Johanne Blais, médecin de famille à Québec et professeure à l’Université Laval.

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Dès que les symptômes se manifestent, il faut téléphoner au 9-1-1 : les médecins ont quatre heures pour sauver le cerveau. Pour chaque minute qui s’écoule sans traitement, on perd 1,9 million de cellules cérébrales. Au bout d’une heure, c’est autant qu’en trois ans et demi de vieillissement normal !

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L’âge est un facteur de risque contre lequel on ne peut rien ; par contre, on peut s’aider beaucoup en tenant à distance l’hypertension, le cholestérol et le diabète. « Les habitudes de vie sont cruciales : je dis toujours à mes patientes que bouger 30 minutes par jour équivaut à une pilule pour contrôler la pression ! » illustre la Dre Johanne Blais. Écraser la cigarette pour de bon, soigner notre alimentation et limiter notre consommation d’alcool peuvent aussi nous sauver la vie. « La pire erreur est d’essayer de tout entreprendre en même temps, parce qu’on ne tiendra pas longtemps ses résolutions. On y va une bataille à la fois. Si on peut s’attaquer d’abord au tabagisme, c’est vraiment l’idéal. Sinon, on peut commencer par intégrer l’exercice et changer son alimentation. Personnellement, je suis une inconditionnelle du régime méditerranéen ! »

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Au pays, 30 % plus de FEMMES que d’hommes DÉCÈDENT des suites d’un AVC*.

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Les signes ne mentent pas :

Visage : Est-il affaissé?

Incapacité : Pouvez-vous lever les deux bras normalement?

Trouble de la parole : Trouble de prononciation?

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Extrême urgence : Composez le 9-1-1.

Pour tout savoir sur l’AVC, rendez-vous à fmcoeur.ca/VITE.

 

* Source : taux de mortalité de Statistique Canada de 2008.

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62 000 AVC surviennent chaque année au pays*.

Les signes ne mentent pas.

Plus VITE vous les reconnaissez,

plus VITEvous réagissez,

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plus VITE vous sauvez la personne.

Serez-vous prête?

Pour les reconnaître, réagir VITE et sauver une vie, rendez-vous à fmcoeur.ca/VITE.

 

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* Source : Institut canadien d’information sur la santé. Base de données sur la morbidité hospitalière.rn 

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