Le chien semble vraiment le meilleur ami de l’homme et de la femme! Une analyse d’études regroupant près de 4 millions de participants suivis en moyenne pendant 10 ans indique qu’il y a eu 24 % moins de décès parmi les personnes qui possédaient un chien que chez celles qui n’en avaient pas. Lorsqu’on considérait seulement les cas de mortalité cardiovasculaire, le risque était réduit de 31 %. Mieux encore, la mortalité a reculé de 65 % chez les propriétaires de chien qui avaient déjà souffert de troubles cardiovasculaires graves. Comment expliquer ce phénomène? On l’ignore encore. Peut-être une retombée des promenades quotidiennes aux côtés du fidèle compagnon, ou des bienfaits de l’affection qu’il dispense?
Sources : Circulation: Cardiovascular Quality and Outcomes et The New York Times
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