Il n’est pas obligatoire. Mais pourquoi se passer d’un casque de vélo ? Surtout que les produits se peaufinent. Par exemple ceux de Giro, dotés de la technologie MIPS, système de protection contre les impacts multidirectionnels mis au point en Suède. En gros, la calotte interne bouge de façon indépendante – de 10 à 15 mm – de la coquille en mousse. En cas d’accident, le casque peut davantage absorber l’énergie de l’impact. Un plus pour la sécurité des cyclistes.