Santé

J’ai testé la luminothérapie

Pour survivre aux journées sombres.

Photo: Photo and co/Getty Images

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Les matins étaient sombres, les journées, interminables. De l’entrain quand la nuit tombe à 16 h 13 ? J’aurais voulu hiberner… Mon corps fantasmait sur le sommeil, mon cerveau, sur la nourriture – grasse, salée et sucrée.

Et puis, la lumière fut. Éblouissante et bienfaisante. Depuis, je ne peux me passer de cette lampe qui diffuse une lumière blanche à large spectre (sans UV) et devant laquelle je me pomponne chaque matin. Je passe maintenant à travers l’hiver sans heurts.

Pour profiter des bienfaits de la luminothérapie, on s’expose 30 minutes par jour à une intensité de 10 000 LUX, ce qui est 100 fois plus lumineux que nos maisons et nos lieux de travail. À titre comparatif, une journée sans nuages représente de 50 000 à 100 000 LUX.

La luminothérapie n’engendre pas ou peu d’effets indésirables – les personnes diabétiques ou ayant une affection oculaire doivent tout de même consulter un médecin au préalable. Les études tendent à privilégier les lampes fluorescentes blanches par rapport aux ampoules bleues, qui pourraient endommager les yeux, selon la réputée clinique Mayo.

À essayer, donc. Sinon, courage ! Les journées s’allongeront dès le solstice du 21 décembre…

Il faut compter de 125 $ à 300 $ pour une lampe de marque Day Light ou Northern Light. Dans certaines pharmacies et boutiques spécialisées en orthopédie.

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