Alimentation et nutrition: 4 vérités bonnes à savoir
Moins un aliment est transformé, meilleur il est
À l’épicerie, ils occupent les meilleures places sur les tablettes, ils ne coûtent pas cher et sont prêts à manger ou presque. On parle ici des aliments ultratransformés. «Ce sont des produits qu’on ne trouve pas dans la nature, confectionnés surtout à partir de féculents, de gras, de sucre, de saveur artificielle et d’agents de conservation», dit Jean-Claude Moubarac, chercheur en nutrition publique au Centre de recherches pour le développement international (CRDI), à Ottawa.
On l’aura deviné, gâteaux, biscuits, croustilles, barres énergétiques, boissons gazeuses, sauces et soupes en conserve tombent dans cette catégorie. «Tout comme les pains, trempettes et fromages industriels, ces derniers étant fabriqués à partir de substances laitières et non pas de lait», précise-t-il.
Nous sommes directement concernés : ces produits représentent près de la moitié du menu des Canadiens et un peu plus de la moitié de celui des Américains, comparativement à un tiers pour les Français et les Italiens. «Il semble que plus on en consomme, plus le taux d’obésité augmente», rapporte l’expert, qui mène une étude sur le sujet.
La solution : retourner aux «vrais» aliments, qui poussent dans la nature. «On essaie de nous faire croire que, grâce à la science alimentaire, certains produits enrichis de vitamines et de minéraux sont encore plus nutritifs que les vrais aliments, ajoute Jean-Claude Moubarac. Or, les fruits, les légumes, les grains sont le résultat de milliers d’années d’évolution, et on n’a pas encore réussi à percer tous les secrets de leurs bienfaits.»
Moins un aliment est transformé, meilleur il est
À l’épicerie, ils occupent les meilleures places sur les tablettes, ils ne coûtent pas cher et sont prêts à manger ou presque. On parle ici des aliments ultratransformés. «Ce sont des produits qu’on ne trouve pas dans la nature, confectionnés surtout à partir de féculents, de gras, de sucre, de saveur artificielle et d’agents de conservation», dit Jean-Claude Moubarac, chercheur en nutrition publique au Centre de recherches pour le développement international (CRDI), à Ottawa.
On l’aura deviné, gâteaux, biscuits, croustilles, barres énergétiques, boissons gazeuses, sauces et soupes en conserve tombent dans cette catégorie. «Tout comme les pains, trempettes et fromages industriels, ces derniers étant fabriqués à partir de substances laitières et non pas de lait», précise-t-il.
Nous sommes directement concernés : ces produits représentent près de la moitié du menu des Canadiens et un peu plus de la moitié de celui des Américains, comparativement à un tiers pour les Français et les Italiens. «Il semble que plus on en consomme, plus le taux d’obésité augmente», rapporte l’expert, qui mène une étude sur le sujet.
La solution : retourner aux «vrais» aliments, qui poussent dans la nature. «On essaie de nous faire croire que, grâce à la science alimentaire, certains produits enrichis de vitamines et de minéraux sont encore plus nutritifs que les vrais aliments, ajoute Jean-Claude Moubarac. Or, les fruits, les légumes, les grains sont le résultat de milliers d’années d’évolution, et on n’a pas encore réussi à percer tous les secrets de leurs bienfaits.»