Ni foodie ni orthorexique (lire obsédée par ce qui est porté à la bouche), j’aime cuisiner. J’ai un fond grano qui ne décolle pas. J’ai par le passé fait mon yogourt, mon pain, ma bière et mon propre Nutella sans sucre – folle de même ! Depuis, je me suis calmée, bien que j’attende un trou dans mon horaire pour fabriquer du kombucha, un thé fermenté. Même si on bricole les soupers de semaine en 15 minutes et quart, mon chum et moi, on met toujours à l’honneur les légumes en les apprêtant de diverses façons. (De l’anis étoilé dans la purée de patates douces à l’orange ?) Depuis quelques semaines, mon enthousiasme végétal faiblissait : brocoli, chou-fleur et haricots verts se retrouvaient la plupart du temps cuits à la vapeur.
Puis, le super mélangeur Le boss de Breville est entré dans ma cuisine – enfin une solution de rechange au Vitamix. J’ai redécouvert le plaisir d’explorer : noix, sirop d’érable et cannelle se transforment en tartinade ; bananes, chocolat cru et épices se métamorphosent en dessert glacé ; petits fruits, betteraves et chou frisé deviennent smoothie. Un mercredi soir, j’ai glissé dans le récipient du mélangeur des haricots de soya décongelés, du bouillon de poulet et de la menthe fraîche. J’ai appuyé sur le bouton « soup ». Six minutes plus tard, je remplissais les bols de ma gang d’un velouté fumant et goûteux. Puis j’ai utilisé la fonction autonettoyage et l’engin s’est lavé en une minute. Moi qui suis plutôt réticente à payer plus de 100 $ pour des bidules du genre, j’étais conquise. Emmenez-en des recettes...
Super mélangeur Le boss, Breville, 699,99 $
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