Bien-être

Les astuces zen de Valérie Plante

Les journées de la mairesse de Montréal, Valérie Plante, s’étirent de 8 heures à 20 heures, 6 jours par semaine. La pression et la charge mentale, elles, ne la quittent jamais. Comment diable parvient-elle à garder ce sourire qui a fait sa marque ?

Valérie Plante

La première chose que je fais le matin

Je suis dans la piscine dès 7 h, deux à trois fois par semaine. Ce sont les plus belles journées de la semaine ! La natation, c’est mon sport : j’en fais depuis que j’ai 12 ans. C’est quand j’ai du temps pour bouger que je suis à mon meilleur, selon mon équipe.

Mon réflexe quand la pression monte

Je segmente les activités au cours de ma journée. Il faut des énergies très différentes pour faire une conférence de presse, rencontrer un ministre ou écouter un citoyen. Et j’ai toujours des urgences­ ! Après chacun de ces moments, je prends le temps de me dire : « Je viens de finir ceci, je passe à autre chose. » Et je me concentre sur la prochaine rencontre en laissant le reste derrière.

L’activité qui me sert à retrouver l’équilibre

La création m’aide à décrocher. Dès que j’ai un peu de temps, j’écris des anecdotes ou je gribouille dans mon cahier à dessins. J’ai été critiquée pour avoir scénarisé une BD (Simone Simoneau : chronique d’une femme en politique, Éditions XYZ) alors que je suis en poste. Mais je revendique le droit à la créativité, même quand on est mairesse. Il faut des échappatoires, des moments et des lieux où l’on est autre chose qu’une mairesse, justement.

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