Entrevues

Rencontre avec Florence Girod, vice-présidente à la planification stratégique chez Cossette

Conciliation travail-famille pour cette maman de 48 ans dont le boulot exige créativité et rationalité.

Florence Girod, vice-présidente à la planification stratégique chez Cossette, à Montréal, 48 ans, maman de deux enfants de 15 et 21 ans.

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Mon job

Orienter les stratégies de marketing et de communication de nos clients. Mes journées sont un flot continu d’argumentations, de réflexions, de présentations. Ça exige à la fois créativité et rationalité.

Mes loisirs

Je consacre presque toute mon énergie au travail. Pour faire le plein, je sors deux fois par semaine – musée, cinéma, spectacles. L’art me nourrit, régénère mon cerveau. Sinon, yoga et piscine.
Et cures de sommeil le week-end !

J’ai renoncé à…

la vie parfaite à la maison. Je ne fricote pas de plats équilibrés en rentrant, les chambres sont parfois à l’envers, les vacances s’organisent à la dernière minute… Je n’en tire pas de complexe, je suis juste humaine. Et puis, il y a du bonheur à ne pas planifier – ça génère moins de déceptions. Je préfère l’ouverture au contrôle.

Ma priorité familiale

Horaire chargé ou pas, le repas du soir en famille est sacré. Des fois, on ne parle même pas. L’essentiel est dans la présence.

Mon meilleur conseil

Aux jeunes professionnelles, je recommande de se montrer exigeantes sur la qualité des gens avec qui elles travaillent. Il faut fréquenter plus brillant, plus inspirant que soi. Et ne pas fuir les défis qui nous effraient. C’est dans la tension et les responsabilités qu’on se révèle, qu’on progresse, qu’on vit des moments intenses.

Mon style

J’ai une passion pour les univers du sport et du rock et ça se voit dans ma garde-robe – textures trouées, satin qui reflète la lumière… Ça fait techno, moderne. Je fuis les codes vestimentaires traditionnels, les looks réfléchis, les kits.

Mon dada

À part les baskets, je ne chausse que des talons hauts spectaculaires, bien dessinés, souvent de couleur métallique, car ce qui brille m’aimante. Ils contrastent avec la neutralité de mes hauts. Pour moi, la chaussure n’est pas utilitaire, c’est un objet d’art.

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