Bon. Trois avions, deux escales et 30 heures plus tard, nous sommes là ! Avec, comme récompense, un souper dans une salle à manger d'hôtel pleine de femmes fatiguées, contentes, fébriles. Les Roses des Andes 2015. Beau moment pour faire, enfin, connaissance. À ma table, deux copines de Saint-Pierre-et-Miquelon, et deux sœurs qui ont choisi ce moyen pour passer du temps ensemble: l'une vit à Québec alors que l'autre s'est transplantée au Nouveau-Brunswick. C'était lundi soir.
Mardi, journée folle à se taper toutes les formalités. Recevoir son 4x4, passer à la vérification mécanique, voir le médecin de l'organisation, se débarrasser des paperasses d'assurance et de caution. Aller faire les dernières courses. Arrêter dix minutes pour saluer les dignitaires de la région, très fiers d'accueillir l'événement. Puis, super important, décorer sa voiture de tous les autocollants de nos commanditaires et aussi des amis qui ont donné un coup de pouce au financement. Dur le «stickage», comme disent les amies françaises. La carrosserie est trop chaude sous le soleil. Alors ça colle croche, ou ça fait des bulles. Des heures, elles y ont mis, les filles.
Demain: petit déjeuner à 6h00. Grand départ pour le rallye Roses des Andes à 8h00.
À partir de maintenant, comme dit Jean-Jacques, le grand patron organisateur, ce ne sera plus que du bonheur !
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