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Vie pratique

Lavage des mains: comment bien s’y prendre

En ces temps de coronavirus, l'hygiène des mains doit être irréprochable. Le Dr Jasmin Villeneuve, médecin-conseil à l’Institut national de santé publique du Québec, nous offre un petit cours de lavage des mains 101.
Lavage des mains: comment bien s’y prendre

Illustrations: iStock.com/Medesulda

Le lavage des mains devrait prendre de 15 à 30 secondes – le temps de réciter l’alphabet. «Un lavage assidu plusieurs fois par jour est de mise», indique le Dr Villeneuve. On doit couvrir ses mains de savon, à l’intérieur comme à l’extérieur jusqu’aux poignets, sans oublier autour et en dessous des ongles, et entre les doigts. L’idéal serait de fermer le robinet avec le papier ou la serviette. Que penser des gels antiseptiques? Ils sont tout aussi efficaces que l’eau et le savon, selon le Dr Villeneuve. Ces produits ont même un atout supplémentaire: l’alcool qu’ils contiennent reste sur les mains pendant un certain temps après le lavage, nous protégeant un peu plus longuement contre les bactéries. Pour les utiliser correctement, on doit en employer suffisamment pour recouvrir toute la surface des mains, mais pas davantage. Le désinfectant devrait être sec après 15 à 20 secondes de friction. Par contre, pour s’attaquer à la saleté ou aux taches, un lavage à l’eau demeure essentiel. Quant à savoir quel gel choisir, le Dr Villeneuve soutient que toutes les marques se valent et sont assez puissantes pour un usage domestique. Ces produits pourraient toutefois ne pas convenir aux peaux sensibles puisque l’alcool qu’on y trouve assèche l’épiderme.

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Après des études en chant classique au Conservatoire de musique de Québec, Andréanne Moreau a complété son baccalauréat en journalisme à l'Université du Québec à Montréal (UQÀM) et est devenue journaliste dans les hebdos locaux de TC Média, sur l'île de Montréal. C'est là qu'elle s'est fait remarquer pour ses portraits et ses reportages près du style du magazine et a été recrutée par Châtelaine. Pendant trois ans, elle y a couvert l'actualité féministe mondiale dans la section Planète Femmes, la santé et l'activité physique. Elle a également réalisé quelques longs reportages, notamment au sujet de la grossophobie médicale, de la libido et de l'anatomie féminine. Andréanne met maintenant sa plume au service de l'Orchestre Métropolitain et de son chef d'orchestre Yannick Nézet-Séguin, pour qui elle est conseillère en communications et relations publiques.

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