Photo : iStock.com/Zbynek Pospisil
Premier conseil : pour éviter les piqûres de maringouins, de guêpes, ou encore les morsures de tiques, « on porte des vêtements longs », dit Breanna Leheta, pharmacienne chez Jean Coutu, à Brossard.
Il fait trop chaud pour enfiler un pull ? On se tourne vers le chasse-moustique. Les insectifuges contenant du DEET ou de l’icaridine sont à privilégier puisqu’ils sont les seuls à offrir aussi une protection contre les morsures de tiques.
« Après la baignade ou si on est trempé par la pluie, ou encore si on sue beaucoup, il faut en réappliquer », souligne Marie-Ève Beauchemin, infirmière au CISSS de la Montérégie-Centre. Pour une efficacité maximale, on en met non seulement sur la peau visible, mais également sur ses vêtements.
Chaque jour, on surveille l’état de ses piqûres, qui devraient disparaître en moins d’une semaine. « La rougeur s’étend, l’enflure augmente ou la douleur s’accroît ? C’est peut-être le signe d’une infection », avertit Marie-Ève Beauchemin. Elle recommande alors d’aller se faire examiner par un médecin.
« Si on commence à avoir un mal de ventre, des nausées, des difficultés respiratoires, une enflure au niveau des lèvres ou une impression de faiblesse, on consulte sans attendre », affirme Breanna Leheta. Ces symptômes pourraient indiquer une réaction allergique grave.
En randonnée, mieux vaut tout de suite remettre le cap sur la civilisation en cas de piqûre de guêpe ou d’abeille. C’est dans l’heure qui suit qu’une réaction allergique risque de survenir. On profitera de la promenade une autre fois…
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