Je ne me rappelle plus quand les symptômes ont commencé. L'invasion est venue en traitre, lâchement, par derrière.
J’avais acheté un chandail à manches longues chez Icebreaker, histoire de me garder au chaud pour mes courses hivernales.
Il était (il est toujours…) tellement léger, doux, confortable, et chaud, que je le portais pour chacune de mes courses.
Et puis, un soir qu’il faisait froid, je l’ai porté comme haut de pyjama. J’ai très bien dormi.
Un autre soir où il fallait sortir de la maison alors que le blizzard sévissait sur la ville, je l’ai porté avec un jean. J’ai eu des compliments. Et je n’ai pas frissonné de toute la soirée.
Du coup, pour une fête entre amis, je l’ai porté avec une petite jupe et des collants également en mérinos. Franc succès. Il s’est même retrouvé sous un veston chic, ni vu ni connu, mais toujours aussi confortable.
Autant vous le dire, ça été le début de l’invasion. Depuis, plusieurs de mes vêtements de course se sont retrouvés «comme par hasard » dans ma garde-robe « civile ». Certaines marques facilitent tellement la transition entre le sport et le chic de ville que je n’essaie même pas de résister, et ils sont d’un tel confort que je n’arrive plus à revenir en arrière.
Et vous ? Portez-vous des vêtements de course en ville ?
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Scénariste, romancière, directrice littéraire et journaliste, Geneviève Lefebvre s'intéresse à tout ce qui s'écrit.
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