Fini les mélanges à 10 ingrédients ! C’est une bonne chose, car il sera plus facile de concocter des cocktails pour ses hôtes. La mode est aux classiques – old fashioned, manhattan, gin tonic, french 75, negroni, moscow mule –, qu’on peut réinterpréter en leur donnant une touche personnelle. Par exemple, en utilisant un sirop maison parfumé.
Une autre tendance : on diminue le sucre, souvent au profit d’une agréable pointe d’amertume.
Un bon filon : pour trouver des recettes variées, visiter le site web de ses alcools préférés.
Un ou deux alcools bruns et un ou deux alcools blancs. Le gin, le bourbon et le whisky sont populaires.
Une liqueur. Celles d’agrumes, comme le Cointreau, sont très polyvalentes.
Le produit vedette du moment : un vermouth de qualité, comme le Vermouth di Torino de la maison Cocchi. Ou encore une autre boisson amère, par exemple un amaro ou le Campari.
Cointreau (SAQ 00006502, 35,25 $), Ungava (SAQ 11156764, 35,25 $) et Vermouth (SAQ 12432185, 28,00 $)
La règle d’or pour atteindre l’équilibre : 2 + 1 + 1.
2 mesures de spiritueux de base : gin, whisky, rhum, vodka, téquila, mezcal… Pour un cocktail, une mesure correspond à 1 oz, soit 30 ml ou 2 c. à soupe.
+ 1 mesure d’un ingrédient sucré, souvent un sirop ou une liqueur.
+ 1 mesure d’un ingrédient acide, habituellement du jus de citron, de lime ou de pamplemousse (fraîchement pressé svp !).
Amers. Ces assaisonnements concentrés (à saveur d’orange, de cerise, de céleri...) ajoutent de la profondeur au goût. Le plus populaire est l’Angostura, que l’on trouve en épicerie.
Herbes fraîches. Menthe, basilic ou estragon, pilés délicatement.
Allongeurs. Soda, bière, jus, boisson gazeuse, mousseux, thé, tisane, café infusé à froid. À utiliser seuls ou combinés.
Garnitures. Zeste d’agrume, fruits ou légumes, sucres et sels à givrer... Une découverte récente de la mixologue Gabrielle F. Panaccio : les sucres aromatisés de l’entreprise québécoise MChef, pour garnir le rebord des verres ou saupoudrer sur les mélanges.
Indispensable : prévoir des mocktails, c’est-à-dire des mélanges ne contenant pas d’alcool. Quelques conseils pour les réussir.
À noter : Les bières et vins désalcoolisés peuvent avoir une teneur maximale en alcool de 0,5 %. Les amers en renferment plus de 40 %. Toutefois, comme on n’en met que quelques gouttes, le produit final n’en contiendra qu’une infime quantité.
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