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« Je ne réserve plus les pique-niques aux week-ends ou aux grandes occasions. Dès le début du temps doux, je le mets à l’agenda de la semaine. Se transporter au parc un mercredi, ça veut dire un soir de moins à se casser la tête (vive les sandwichs !) et un de plus à jouer au ballon ou à se balancer avec les enfants. »
Crystelle Crépeau, rédactrice en chef
« Quand l’été s’installe, j’essaie de venir travailler à vélo. J’avoue avoir une certaine crainte sur deux roues, car pédaler en ville n’est pas de tout repos ! Mais il n’y a rien de plus zen que de traverser le parc Laurier, puis le parc La Fontaine au petit matin. Ce moment passé sous les rayons du soleil me donne l’impression d’en profiter encore plus. »
Sara Barrière-Brunet, journaliste web et responsable des médias sociaux
« Pas besoin d’avoir un super ensemble en teck – qu’on sort et qu’on rentre à tout moment – pour savourer les douces soirées d’été. Chez nous, on a redécouvert la bonne vieille table de pique-nique en bois. Simple et économique. En pleine semaine, on sort la nappe, les assiettes et hop ! On mange sous le couvert des arbres dans notre cour montréalaise. Même pas nécessaire de la ranger après. Elle passe l’hiver dehors… »
Johanne Lauzon, rédactrice en chef adjointe
« Dès juin, tout se cuit sur le barbecue. Le dimanche, je fais griller mes légumes. J’en ai pour les lunchs de la semaine et je “goûte” l’été tous les jours, même au bureau. Aussi, je veille sur le perron plutôt que devant un écran. Les nuages, le ciel qui change de couleur au coucher du soleil, c’est toujours beau. »
Nicole Labbé, directrice cuisine – déco
« Je transforme mon balcon de citadine en minipotager de fines herbes, et je le fleuris aussi, ce qui m’incite à m’y asseoir matin et soir. J’ai l’impression d’avoir une petite cour au troisième étage. J’arrose, je désherbe… et je cueille ce qu’il me faut pour ajouter de la fraîcheur à mon repas ! »
Caroline Fortin, chef, section culture
« Je viens au bureau en Bixi dès qu’ils sont remis en service. Je nage dehors dès que la piscine extérieure est rouverte. Je dors la fenêtre ouverte sitôt les beaux jours revenus… »
Candice Renaud, adjointe éditoriale
« La semaine, je m’active dehors, avec mon chien ou à la course. Avec des amis je joue au tennis ou à la pétanque.»
Marie-Ève Gagné, graphiste
Le temps de s'arrêter
« En plus de me déplacer à vélo le plus possible, j’utilise mes allées et venues pour flâner dans la ville au retour du travail : pause lecture au soleil dans un parc, découvertes de nouvelles boutiques et adresses, apéro en terrasse. Tout pour profiter du beau temps et de l’extérieur ! »
Annabelle Moreau, rédactrice en chef numérique
« Avec mon chum, on fait de grandes marches dans le quartier, après le souper. Et ça me permet de redécouvrir mon Saint-Henri. »
Isabelle Dubuc, directrice artistique
« Avec les voisins, on se fait des soupers improvisés dans la ruelle. On sort une grande table pliante et les gens apportent ce qu’ils avaient prévu manger à la maison. Souvent, le groupe s’agrandit à mesure que la soirée avance. Ça finit par des matchs de hockey ou une bataille générale de fusils à eau. »
Claude Labrie, directrice artistique adjointe
« Avant juin, avec mes amis, on organise des pool de ménage de terrain. On va en gang chez chacun débroussailler, râteler, etc. Après, on se fait un souper spaghetti. Aussi, deux soirs par semaine, je m’entraîne au bateau-dragon au Bassin olympique du parc Jean-Drapeau; y voir le coucher du soleil, c’est magique. »
Louise Gendron, journaliste
« Mon chum et moi sommes en train d’aménager une pièce extérieure protégée par des moustiquaires, style pergola. (Mes parents en avaient construit une, à la campagne, quand on était jeunes.) Avec des lampes électriques, on peut y passer la soirée à lire, à jaser, ou à regarder des séries sur l’ordi… On va y prendre un verre, ou un thé le matin. Et c’est comme si on vivait dehors avec la brise, les batailles d’écureuils et de ratons laveurs, les criquets. On se sent moins encabanés, ça donne l’impression de boire l’été jusqu’à plus soif ! »
Marie-Hélène Proulx, journaliste
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