Courir sans but est toujours une option.
Mais si on veut enfiler ses running shoes trois ou quatre fois par semaine, au petit matin ou à la nuit tombante, et garder le rythme, mieux vaut se fixer un objectif concret.
Un avis que partagent bien des experts de l’entraînement. « Ça motive la plupart des gens », précise le kinésiologue et ostéopathe Jean-François Harvey, qui a conçu les programmes d’entraînement (initiation à la course, 5 km et 10 km) du Club de course Châtelaine.
D’accord, mais quel événement automnal choisir ? Que pourrait être le point culminant de ces semaines de dur labeur ? « La dernière course de la saison, c’est souvent celle d’Oka », répond-il.
En pleine nature, sur les bords du lac des Deux-Montagnes, pourquoi pas ? « Oka ? C’est une de mes courses préférées. On court dans les champs jaune or, dans la pinède du parc national d’Oka. Et l’atmosphère est vraiment cool », s’enthousiasme Geneviève Lefebvre, notre blogueuse de La course et la vie. (En passant, elle s’est déjà inscrite à l’édition 2013 du demi-marathon d’Oka.) [adspot]
C’est donc décidé! On s’active dès le début septembre pour se rendre à Oka, huit semaines plus tard. En pleine possession de ses moyens, prête à affronter l’une des épreuves à l’horaire, le dimanche 3 novembre.
Bien sûr, personne n’est obligé d’y participer… Le plaisir doit primer, on est d’accord là-dessus. Mais pour celles qui ont besoin d’un défi, la Course d’Oka est une jolie occasion de se surpasser dans un décor bucolique. L’équipe de Châtelaine y sera.
Course d’Oka, le dimanche 3 novembre 2013
Petit conseil : ne pas trop tarder avant de s’inscrire.
Pour s’échanger des tuyaux ou des photos, s’encourager et se garder motivées, rendez-vous sur la page Facebook du Club de course!
