On n’a plus les télévangélistes qu’on avait. Cette spécialité bien américaine de showman religieux ne venait qu’en version mâle-blanc-cheveux-courts-lunettes-sages-veston-cravate. Mais depuis quelques années, l’offre se diversifie. Un preacher sur 10 serait maintenant une femme. Parmi elles, la spectaculaire Kimberley Jones-Pothier, qui, à Atlanta, prêche en crinoline et bottines Dr Martens et, surtout, Paula White, pasteure du New Destiny Christian Center d’Apopka, en Floride. Belle, blonde, multimillionnaire, mariée trois fois, elle serait aussi, chuchote-t-on, la conseillère spirituelle d’un certain Donald Trump...
Sources : Marie Claire et Charisma News
Une immense pancarte comme celle-là dans un abribus, ça frappe. C’est ce que veulent les membres d’Insomnia, un collectif féministe français créé pour lutter contre le sexisme et les discours haineux dans l’espace public. En novembre dernier, elles ont ainsi placardé 100 affiches de ce genre en une seule nuit. Leur but : « Faire reconnaître, dans le Code pénal français, le crime de féminicide, soit l’acte de tuer une femme parce qu’elle est une femme. »
Sources : Les Inrocks et Insomnia
« Elle a réussi à devenir PDG sans sacrifier sa féminité. » C’est l’exemple qu’avait choisi le dictionnaire anglais Merriam-Webster pour illustrer le mot « féminité ». Jusqu’à ce que, outrée, Alison Segel, une jeune auteure californienne, reprenne la phrase sur son compte Twitter. Surprise : le lexicographe de l’auguste institution lui a répondu... et a retiré l’exemple.
« Quand on utilise sa féminité pour changer le dictionnaire... » - Réaction de l’auteure
Sources : The Guardian et Twitter
Une collaboration des designers de Barbie et de ceux de la Compagnie de la Baie d’Hudson, pour les collectionneuses adultes. Manteau et jupe crayon aux couleurs de l’entreprise fondée en 1670, tuque blanche, lunettes surdimensionnées. Pelle non incluse.
En vente à La Baie d’Hudson.
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