Montréalaise d'origine marocaine, Manal Drissi a été chroniqueuse pour Châtelaine puis a cheminé vers la radio et la télévision. Elle est intense dans trois langues et demie.
«Pourquoi ma vie à moi, elle n’a jamais l’air d’une brochure de voyage?» écrit notre blogueuse Manal Drissi qui nous fait (avec humour!) des confidences au sujet de son quotidien.
«Naviguer entre la vie de famille, la jeune carrière et tout le reste (genre la maladie mentale) est une discipline olympique.» Et si on se permettait de faire rimer carrière et vie de famille épanouie?
Des gars comme le terroriste de Sainte-Foy, il y en a dans nos médias, sur les réseaux sociaux, dans les commentaires, dans nos inbox. On leur parle, on les confronte, on les dénonce, puis on les ignore, écrit Manal Drissi. Mais leur discours continue à faire écho.
«Tu ne seras pas parfaite, mais tu ne seras pas non plus la première à cogner la tête de ton bébé sur le cadre de portière de l’auto», écrit Manal Drissi dans sa lettre à une femme qui attend – et attend, et attend – d’accoucher.
«Nous sommes nombreuses à réaliser seulement une fois notre bébé dans les bras que la maternité est un party d’euphémismes et que le congé de maternité n'en est pas un», écrit Manal Drissi.
« À l’ère du dépassement continuel de soi, la vraie révolution n’est pas d’essayer de changer, c’est de stagner », écrit notre chroniqueuse Manal Drissi. Et si on arrêtait de prendre des résolutions impossibles?