Présenté en accompagnement ou intégré dans les soupes et autres plats, ce condiment est de tous les repas. Il se confectionne avec divers légumes, mais la recette à base de chou nappa reste la plus répandue. La préparation, qui nécessite une importante quantité de poudre de piment, est fermentée. Une sorte de choucroute coréenne quoi ! On aime aussi le kimchi pour ses vertus thérapeutiques. Car il contient des bactéries prébiotiques, indispensables à la santé digestive.
« Traditionnellement, il est conservé dans de gros pots en céramique qui laissent le mélange respirer et ces contenants sont enterrés pendant l’hiver, raconte la chef Migyeong Kim, du restaurant Parfum de Corée, à Rimouski. Ici, j’utilise des frigos spécialement conçus pour le kimchi. »
Plusieurs restaurants et épiceries spécialisées proposent à leurs clients ce condiment à emporter. On peut aussi le faire chez soi – c’est assez simple à réussir – si les parfums de la fermentation ne nous incommodent pas trop. La préparation se conserve plusieurs semaines ; si son goût devient trop acide, on la cuisine en y ajoutant un peu de sucre.
Composé de piments et de légumes lacto-fermentés, le kimchi, mets traditionnel coréen, est le condiment in à avoir en cuisine. La chef Migyeong Kim, du restaurant Parfum de Corée, à Rimouski, nous en propose une version riche en saveurs!
En accompagnement ou incorporé dans une soupe, le kimchi sait trouver sa place dans nos assiettes. En voici une recette simplifiée à reproduire à la maison.
Dans certaines succursales de la SAQ, on peut se procurer du soju, un alcool fait traditionnellement à base de riz, très populaire en Corée, et qu’on compare à la vodka. Pour un produit plus doux, on optera pour le maehwasu, une boisson aromatisée à la prune.
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