Photo: Getty Images/Diana Miller
À l’achat, on le choisit bien vigoureux. On le conserve ensuite au frigo, dans un milieu humide (couvert d’un linge humecté, par exemple). On ne le place surtout pas dans un bassin rempli d’eau, où il manquerait d’oxygène et mourrait.
Pour la cuisson, on le plonge dans une eau bouillante très salée – 1 c. à soupe de sel par litre d’eau. Il conservera ainsi sa saveur naturelle d’eau de mer. Lorsque l’eau recommence à bouillir, on calcule 15 minutes pour la première livre et demie (680 g), puis de 5 à 7 minutes par livre (450 g) supplémentaire.
Dès qu’on le retire de l’eau bouillante, on le plonge dans l’eau glacée. Cela arrête la cuisson tout net et fait que la chair est tendre et se détache facilement de la carapace. On le laisse dans l’eau le temps qu’il faut pour qu’on puisse manipuler la bête sans se brûler.
À lire aussi :
Homard : des recettes pour le savourer à son meilleurComment décortiquer un homard
Inscrivez-vous aux infolettres de Châtelaine
Journaliste depuis plus de 30 ans, Daniel Chrétien se passionne pour les magazines. Il a notamment mis sa plume au service de Québec Science, de L'actualité et de Châtelaine, où il a travaillé comme rédacteur en chef adjoint pendant cinq ans. Au cours de sa carrière, il a remporté une dizaine de prix de journalisme, dont le prix Jean-Paré, remis au journaliste magazine de l'année au Québec. Aujourd'hui journaliste indépendant, il continue à collaborer avec Châtelaine sur une base régulière, en signant des reportages culturels ou traitant de sujets sociaux qui touchent les femmes.
ABONNEZ-VOUS À CHÂTELAINE
Joignez-vous à notre communauté pour célébrer la riche histoire du magazine Châtelaine, qui souligne ses 65 ans en 2025. Au programme : de nouvelles chroniques, une couverture culturelle élargie, des reportages passionnants et des hommages touchants aux femmes inspirantes qui ont eu une influence positive et durable sur notre société.