féminisme

Obtenir le contrôle de leur corps, c’est là l’un des premiers combats des féministes. Dans les années 1960 et 1970, le Québec s’ouvre à la libération sexuelle. Les femmes font l’amour avant le mariage – en réclamant le droit au plaisir ! –, ont accès à la pilule contraceptive et à l’avortement. Avec leur arrivée en masse dans le monde du travail, elles revendiquent aussi des congés de maternité.

Nous avons demandé à 60 femmes parmi les plus influentes du Québec de nous donner leur définition d’un mot associé à la réalité féminine ou aux combats féministes actuels ou passés. L’objectif n’est pas modeste : dresser, au moyen de ces définitions, un portrait aussi fidèle que possible de ce que signifie être une femme aujourd'hui.

Un grand sondage SOM-Châtelaine dresse un portrait de l’état d’esprit actuel des Québécoises sur une foule de sujets, de leur carrière à leur vie sexuelle en passant par leur famille.

L'accès à l'avortement fait (encore) débat en Pologne, l'idée originale de deux Mexicaines pour lutter contre le sexisme, enfin une femme sur un billet de banque en Tunisie... Voici ce qui se passe sur la planète femmes.

Les liens unissant les mères à leurs garçons sont aujourd’hui bousculés par une nouvelle génération de féministes. Leur objectif ? Faire des hommes de demain de meilleurs alliés.

Star de la pop asiatique, Denise Ho est devenue l’une des figures de proue du mouvement prodémocratie qui réclame depuis des années des élections libres à Hong Kong. Portrait en six temps.

Jane Fonda et l'urgence climatique, Montréal ouvre les bras aux policières, la violence sexuelle banalisée au Royaume-Uni.

Nathalie Provost ne savait pas encore qu’elle était féministe, le 6 décembre 1989, lorsque les balles de Marc Lépine ont atteint son corps. Et pourtant, elle l’était, dit-elle aujourd’hui.

Deux femmes sur cinq dans le monde vivent dans un pays qui ne leur assure pas l’égalité avec les hommes. Voici trois priorités auxquelles on doit s’attaquer avec plus d’ardeur, selon les conclusions que nous avons tirées de la conférence internationale de Women Deliver, qui s’est déroulée à Vancouver au début de l’été.

J’ai beau essayer, je ne me fais pas à «autrice». Pourquoi, après 40 ans de loyaux services, le mot «auteure» serait-il soudainement déclassé?