Qu’y a-t-il de différent du premier tome dans celui-ci ? Deux choses. D’abord, les partys à la mijoteuse. C’est pour moi une nouvelle façon de recevoir. Je lance trois mijoteuses en même temps pour préparer un festin de tacos, un menu à l’indienne, un brunch ou un snack d’avant-match. C’est bon et c’est facile à gérer. Deuxièmement, avec mon équipe cuisine, on a testé des trucs absents du tome 1, comme confire du canard et cuire des calmars. Et on est allés plus loin avec des plats qu’on rêvait de réussir à la mijoteuse, comme le cassoulet et le dulce de leche. Le résultat est épatant.
À ESSAYER: Sauce à la coriandre de Ricardo
Qu’est-ce qui vous a étonné et vous a particulièrement plu en cuisinant avec cet appareil ? Les desserts ! J’ai la dent sucrée, et je suis pleinement heureux de pouvoir faire des grands-pères dans le sirop, de la crème caramel à l’érable ainsi que le renversé à l’ananas, le gâteau signature de ma mère, adapté ici pour la mijoteuse.
À GOÛTER: Cari rouge d’agneau à la mijoteuse, de Ricardo
Avez-vous un conseil d’utilisation ? Ce n’est pas le temps d’être trop créatif. Il faut suivre la recette pour s’assurer que la quantité de liquide est correcte et les assaisonnements bien dosés. Sinon, certains plats risquent de nous décevoir.
À CONCOCTER: Cari de lentilles et de courge à la mijoteuse, de Ricardo
Quel est le plus grand préjugé qui subsiste envers ce type de cuisson ? Et vous y répondez quoi ? Le préjugé, c’est que tout est brun et goûte pareil. J’y réponds : c’est parce que vous ne connaissez pas mes recettes !
À FAIRE MIJOTER: Poulet au beurre à la mijoteuse, de Ricardo
Le plat à la mijoteuse préféré de votre famille ? Impossible de n’en nommer qu’un seul. Mon aînée mangerait le chili blanc aux haricots et au poulet quatre soirs par semaine. Brigitte fait et refait la sauce à spaghetti aux côtes levées. Moi, j’adore notre menu indien avec le poulet au beurre et les deux caris (aux lentilles et à l’agneau).
